Kompass bascule entièrement sur le Cloud public pour numériser ses offres

Le Paas meilleure solution

Le Cloud de type Paas (Platform as a service) est apparu comme la meilleure solution par sa souplesse, et a permis de continuer à ne pas avoir d’infrastructure. La DSI de Kompass emploie actuellement une cinquantaine de personnes, dans le domaine du développement, et huit personnes en exploitation et production.

Le Cloud a été positif pour la commercialisation des nouveaux services. Il permet d’aller plus vite et de tester plus facilement de nouvelles choses. Cela a permis aussi de rassurer les métiers sur les capacités à délivrer de la DSI et de renforcer les liens avec les métiers.

Trois facteurs de succès

« On a pu identifier trois facteurs clés de succès ,» poursuit le DSI en ce qui concerne la numérisation de l’entreprise.  En priorité, le « time to market », ensuite « la capacité d’innovation, » et enfin « la capacité à faire du test & learn, rapidement sur des nouveaux produits. » 

Le DSI de Kompass souligne que « le choix d’un Cloud de type « plateform as a service’ permet de raccourcir les délais de mise en œuvre et d’apprentissage de la technologie. » 


L’arrivée de la compétence « d’Architecte Cloud »

Le Cloud déclenche également le besoin d’une nouvelle compétence.  « On a vu apparaître une compétence assez spécifique » relève Pierrick Pétain, celle de « l’architecte Cloud, car il faut être capable de dessiner des applications spécifiquement pour le Cloud. Les infrastructures Cloud ne se comportent pas comme les autres dans la vie réelle. »

 De plus, il faut de nouveaux processus pour gérer les coûts, car il devient très facile d’allumer ou d’éteindre des machines virtuelles dans le Cloud. « Il ne faut pas se retrouver débordé par la facturation qui arrive en fin de mois » évoque le DSI. 

Au bout du compte, le Cloud de type Paas « Platform as a service » permet de raccourcir de façon très très importante les délais de mise en oeuvre et d’apprentissage des nouvelles technologies. « Si on veut utiliser Elastic Search [NDLR : un moteur de recherche adapté au Big Data], par exemple, on n’a pas besoin de former des équipes d’infrastructure au dimensionnement, à l’installation, à l’administration, on l’utilise en ‘Platform as a service’, on regarde ce que l’on peut en faire, si on n’en fait rien, on arrête, et si on l’utilise sur un produit qui marche, on le garde. »

Agilité et resserrement des liens avec les métiers. Lire la suite de l’article …

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