Les bonnes pratiques des meilleurs sites de e-commerce français

Quatorze sites de e-commerce ont été récompensés lors de la soirée organisée par la Fevad le 28 Novembre. Les lauréats, responsables e-commerce, marketing ou directeurs généraux ont présenté ce qu’ils estimaient comme important dans la réussite de leurs sites marchands. 

Ecouter le client, lui faciliter la vie et l’accès aux produits, lui proposer des contenus intéressants sur ces produits, s’adapter à ses goûts et avoir des boutiques physiques, ce sont les six bonnes pratiques qui ont été illustrées par les responsables e-commerce, marketing ou directeurs généraux des sites Web qui ont été récompensés lors de la soirée organisée par la Fevad, la Fédération de la vente à distance, au studio Gabriel, le 28 Novembre.

Des vidéos non visibles en magasins

Chez Bourgeois, le site Web de la marque de maquillage, de cosmétiques et de produits de beauté, le site est un point de vente déjà situé dans le Top 5 des 2000 magasins de la marque. Mais ce n’est pas un point de vente tout à fait comme les autres, car on y trouve des tutorials et des vidéos que l’on ne trouve pas en magasins. On y explique comment employer les produits.

« Le maquillage est porté par  des vraies filles, des bloggeuses », souligne Magali Berrux, directrice Webmarketing et E-commerce de Bourjois. « Nos consommatrices adorent voir de vraies femmes porter les produits et les manières de les utiliser facilement. » Pour elle, il faut des contenus qui facilitent le choix des consommatrices.

Commander jour et nuit


Chez Le Gallais, une société de vente de produits de quincaillerie pour les professionnels, plus on propose de médias aux clients et plus ils commandent, remarque Anthony Le Courtes, responsable E-commerce de Legallais Bouchard. «  Les professionnels commandent très tôt ou très tard, ils peuvent passer des commandes de partout, et quand ils le veulent grâce à l’application mobile. »

Le site de vente de produits techniques ldlc.com, pour sa part est un des derniers purs players mais sa stratégie est en train de changer. Il existe depuis 1996. « Nous sommes avant tout des commerçants, on survit, on s’adapte, nous avons 2 magasins, et on souhaite ouvrir 40 boutiques d’ici 5 ans» annonce Olivier de la Clergerie, cofondateur et directeur général du groupe LDLC. Pour lui, « Il faut s’adapter, écouter le client, pure player ça ne veut plus vraiment dire quelque chose. »

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Photo : Romain Voog, président France d’Amazon.fr 

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