L’hypertechnologie ne séduit pas les clients quand il s’agit de sexe. C’est ce que relève Gregory Dorcel, directeur général de la société de production de films X Marc Dorcel. « Les objets connectés liés au sexe sont un bide total, » déclare-t-il. Il a pris la parole le 20 janvier, à l’occasion de l’événement Keynote 2016 organisé par Maddyness.
Il ne croit pas à un compagnon robot pour le sexe. « L’hypertechnologie lié au corps, cela refroidit, » dit-il. Sa société a produit un film en 3D immersif utilisant les technologies de réalité virtuelle lancées par Oculus Rift ou Samsung.
Quand au développement massif de ce type de films, « c’est mal barré, » pense-t-il. « Le marché est attentiste, » note-t-il. Les producteurs de films ne se précipitent pas pour réaliser de tels films. « Il faut une centaine de producteurs sur la planète, sinon la demande ne se développera pas, » conclut-il.